ANSM - Mis à jour le : 31/10/2017
ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectableStreptozocine Veuillez lire attentivement cette notice avant d’utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour vous.· Gardez cette notice. Vous pourriez avoir besoin de la relire.
· Si vous avez d’autres questions, interrogez votre médecin ou votre pharmacien.
· Ce médicament vous a été personnellement prescrit. Ne le donnez pas à d’autres personnes. Il pourrait leur être nocif, même si les signes de leur maladie sont identiques aux vôtres.
· Si vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à votre médecin ou votre pharmacien. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Voir rubrique 4.
1. Qu'est-ce que ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable et dans quels cas est-il utilisé ?
2. Quelles sont les informations à connaître avant d'utiliser ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable?
3. Comment utiliser ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable ?
4. Quels sont les effets indésirables éventuels ?
5. Comment conserver ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable ?
6. Contenu de l’emballage et autre informations.
1. QU’EST-CE QUE ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable ET DANS QUELS CAS EST-IL UTILISE ?
Classe pharmacothérapeutique : ANTINEOPLASIQUES ET IMMUNOMODULATEURS - code ATC : L01AD
Il est indiqué notamment dans certaines maladies du pancréas.
Ce médicament peut être associé avec un autre médicament de la même classe, le 5-fluorouracile (5-FU). L’association a donné des résultats supérieurs à ceux obtenus par chacun des traitements administrés séparément.
N’utilisez jamais ZANOSAR :Adressez-vous à votre médecin ou pharmacien avant d’utiliser ZANOSAR.
Suivi pendant le traitementCe médicament ne peut être utilisé que sous surveillance médicale stricte : un examen médical et des analyses de sang sont nécessaires pendant le traitement. Un ajustement de la dose ou une interruption du traitement pourront être nécessaires en fonction de la toxicité observée (caractère toxique) du traitement.
EnfantsSans objet.
Autres médicaments et ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectableCe médicament NE DOIT PAS ÊTRE UTILISÉ dans les cas suivants :
·Association avec le vaccin contre la fièvre jaune (vous ne devez pas vous faire vacciner contre la fièvre jaune pendant l’utilisation de ZANOSAR).
Avertissez votre médecin :
L’association de ce médicament avec d’autres médicaments de la même classe sera réalisée avec précaution dans la mesure où la toxicité de ces médicaments peut s’additionner.
Informez votre médecin ou pharmacien si vous prenez, avez récemment pris ou pourriez prendre tout autre médicament.
ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable avec des aliments et boissonsSans objet.
Grossesse et allaitementL’administration de ce médicament n’est pas recommandée chez la femme enceinte.
Le passage du médicament dans le lait maternel n’a pas été établi. Par prudence, vous devez arrêter d’allaiter pendant le traitement.
Si vous êtes enceinte ou que vous allaitez, si vous pensez être enceinte ou planifiez une grossesse, demandez conseil à votre médecin ou pharmacien avant de prendre ce médicament.
Conduite de véhicules et utilisation de machinesLes effets sur l’aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines n’ont pas été étudiés.
Cependant, au vu des effets indésirables, l’attention est attirée chez les conducteurs de véhicules sur le risque de somnolence et de confusion pouvant survenir au cours d’une administration du médicament par voie intraveineuse ; il est conseillé d’éviter de conduire ou d’utiliser certains outils ou machines les jours où le traitement vous est administré.
ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable contientSans objet.
3. COMMENT UTILISER ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable?
Ce médicament doit être exclusivement préparé et administré par un professionnel de santé.
Ce médicament doit être administré par voie intraveineuse directe ou en perfusion courte (de l’ordre de 15 à 30 minutes).
Ce traitement peut également faire l’objet d’un traitement associé avec un médicament de la même classe appelé le 5-fluorouracile (5-FU).
Le médecin décidera de la dose à administrer en fonction de votre surface corporelle ainsi que de la durée du traitement.
PosologieDeux schémas posologiques peuvent être utilisés :· Traitement quotidien :
La dose recommandée pour une administration intraveineuse par jour est de 500 mg/m2 de surface corporelle pendant cinq jours consécutifs toutes les six semaines jusqu’à l’obtention d’un bénéfice thérapeutique maximal, ou l’apparition de signes de toxicité. Une augmentation de la dose au cours de ce schéma n’est pas recommandée.
· Traitement hebdomadaire :
Pour les deux premières séquences, la dose hebdomadaire recommandée pour une administration intraveineuse est de 1 000 mg/m2 de surface corporelle. Pour les séquences suivantes, les doses peuvent être augmentées, chez les patients pour lesquels il n’a pas été noté de réponse thérapeutique et chez lesquels il n’a pas été observé de manifestation de toxicité au cours du traitement précédent.
Cependant, une dose de 1 500 mg/m2 de surface corporelle en une fois ne doit pas être dépassée (toxicité rénale).Avec ce schéma, le délai moyen de réponse est de 17 jours environ et le temps moyen pour obtenir une réponse maximale est de 35 jours environ.
On entend par réponse maximale le niveau de réponse thérapeutique que l’on ne peut pas améliorer par une augmentation des doses ou une augmentation du temps de traitement.
La dose totale moyenne par cure de traitement pour obtenir une réponse thérapeutique est de l’ordre de 2000 mg/m2 de surface corporelle.
La dose totale moyenne pour obtenir une réponse maximale est de l’ordre de 4000 mg/m2 de surface corporelle.
Association :Ce médicament peut faire l’objet d’un traitement associé avec le 5-fluorouracile (5-FU) selon le protocole suivant :
·Streptozocine 500 mg/m2 jour pendant 5 jours,
·5-FU 400 mg/m2 jour pendant 5 jours,
Traitement à renouveler à six semaines d’intervalle.
Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin ou à votre pharmacien.
Modalités de manipulationÀ l’attention du personnel soignant :Comme pour tout cytotoxique, la préparation et la manipulation de ce produit nécessitent un ensemble de précautions permettant d’assurer la protection du manipulateur et de son environnement, dans les conditions de sécurité requises pour le patient. L’usage de gants est indispensable. En cas de contact accidentel de la poudre ou de la solution avec la peau ou les muqueuses, laver immédiatement la zone concernée à l’aide de savon et d’eau.
L’utilisation de hottes à flux laminaire et de blouses à usage unique est recommandée.
En plus des précautions usuelles pour préserver la stérilité des préparations injectables, il faut :
·manipuler les excréta et vomissures avec précaution.
Les femmes enceintes doivent éviter la manipulation des cytotoxiques.
Mode d’emploiReconstituer le médicament à l’aide de 9,5 ml de soluté injectable isotonique de glucose à 5 % ou de chlorure de sodium à 0,9 % ou d’eau pour préparations injectables. La solution obtenue, jaune or pâle, contient 100 mg de streptozocine et 22 mg d’acide citrique par ml.
Au-delà d’un volume de 9,5 ml de diluant, lorsque des dilutions plus importantes doivent être mises en œuvre, l’utilisation des solvants précités est recommandée. La concentration de la solution finale obtenue doit donc être recalculée en fonction du volume additionnel de diluant.
Le choix du volume de dilution est dépendant des protocoles d’oncologie mis en œuvre. Le seul point commun de ces protocoles est l’utilisation initiale de 9,5 ml pour diluer le lyophilisat au sein du flacon. Des poches de 100 à 500 ml de solution de dilution peuvent ensuite être utilisées.
Mode d’administrationVoie intraveineuse directe ou en perfusion courte.
En cas d’extravasation, l’administration sera interrompue immédiatement.
Si vous avez d’autres questions sur l’utilisation de ce médicament, demandez plus d’informations à votre médecin, à votre pharmacien ou à votre infirmier/ère.
Si vous avez utilisé plus de ZANOSAR que vous n’auriez dûSans objet.
Si vous oubliez d’utiliser ZANOSARSans objet.
Si vous arrêtez d’utiliser ZANOSARSans objet.
4. QUELS SONT LES EFFETS INDESIRABLES EVENTUELS ?
·Rénaux : insuffisance rénale (défaillance des fonctions du rein) pouvant être grave. Votre médecin pourra vous prescrire des dosages sanguins et urinaires avant le traitement, pendant celui-ci, puis de façon répétée dans le mois suivant le traitement.
· Digestifs : nausées importantes et vomissements qui ont parfois pu nécessiter l’interruption du traitement. Des cas de diarrhées ont également été signalés.
· Hépatiques : une toxicité hépatique (du foie) a été observée chez certains patients : élévation de certaines enzymes hépatiques, taux anormalement bas d’albumine dans le sang (hypoalbuminémie).
·Hématologiques et médullaires : la toxicité médullaire (au niveau de la moelle) et toxicité hématologique (au niveau du sang) est rare. L’anémie, le plus souvent légère à modérée et réversible, se manifeste le plus souvent par une baisse des valeurs de l’hématocrite (pourcentage du volume des globules rouges par rapport au volume sanguin total) et du taux d’hémoglobine. Cependant, quelques cas de leucopénie (taux anormalement bas de globules blancs dans le sang) et de thrombopénie importante (taux anormalement faible de plaquettes dans le sang (éléments jouant un rôle important dans la coagulation sanguine)) avec issue fatale ont été rapportés.
·Métaboliques: des anomalies, le plus souvent faibles à modérées, et le plus souvent réversibles de la tolérance au glucose, ont été notées.
·Autres effets généraux et locaux : une nécrose (destruction) des tissus a été observée lors du passage du produit en dehors de la veine. Des sensations de brûlures, du site d’injection jusqu’au bras, ont été rapportées chez certains patients.
·Autres effets indésirables : confusion, léthargie et dépression, ont été notées dans certains cas
Déclaration des effets secondairesSi vous ressentez un quelconque effet indésirable, parlez-en à médecin ou votre pharmacien ou à votre infirmier/ère. Ceci s’applique aussi à tout effet indésirable qui ne serait pas mentionné dans cette notice. Vous pouvez également déclarer les effets indésirables directement via le système national de déclaration : Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) et réseau des Centres Régionaux de Pharmacovigilance - Site internet: www.ansm.sante.fr
En signalant les effets indésirables, vous contribuez à fournir davantage d’informations sur la sécurité du médicament.
5. COMMENT CONSERVER ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable?
Tenir ce médicament hors de la vue et de la portée des enfants.
N’utilisez pas ce médicament après la date de péremption indiquée sur l’emballage. La date de péremption fait référence au dernier jour de ce mois.
À conserver au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C), à l’abri de la lumière.
Durée de stabilité après reconstitution et dilution : la stabilité physico-chimique de la solution de streptozocine reconstituée a été démontré sur 48 heures entre 2°C et 8°C. Toutefois, le produit ne contient pas de conservateur et n’est pas destiné à un usage multiple. Aussi, du point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d’utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après reconstitution et dilution relèvent de la seule responsabilité de l’utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2°C et 8°C, sauf en cas de dilution réalisée en conditions d’asepsie dûment contrôlées et validées.
Ne jetez aucun médicament au tout-à-l’égout ou avec les ordures ménagères. Demandez à votre pharmacien d’éliminer les médicaments que vous n’utilisez plus. Ces mesures contribueront à protéger l’environnement.
6. CONTENU DE L’EMBALLAGE et autres informations
Ce que contient ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable
Streptozocine........................................................................................................................ 1,000g
Pour 1 flacon de Poudre
Qu’est-ce que ZANOSAR, lyophilisat pour préparation injectable et contenu de l’emballage extérieur
Ce médicament se présente sous forme de poudre pour préparation injectable. Boîte de 1 flacon.
Titulaire de l’autorisation de mise sur le marché
KEOCYT106 AVENUE MARX DORMOY
IMMEUBLE CAP SUD
92120 MONTROUGE
Exploitant de l’autorisation de mise sur le marché
KEOCYT106 AVENUE MARX DORMOY
IMMEUBLE CAP SUD
92120 MONTROUGE
VALDEPHARMPARC INDUSTRIEL D’INCARVILLE
27100 VAL-DE-REUIL
Noms du médicament dans les Etats membres de l'Espace Economique Européen
Sans objet.
La dernière date à laquelle cette notice a été révisée est :
< {MM/AAAA}>< {mois AAAA}.>Information médicale et Pharmacovigilance : 01 42 31 07 10
Des informations détaillées sur ce médicament sont disponibles sur le site Internet de l’ANSM (France).
Les informations suivantes sont destinées exclusivement aux professionnels de santé :
POSOLOGIECe médicament doit être administré par voie intraveineuse directe ou en perfusion courte (de l’ordre de 15 à 30 minutes). Il est inactif par voie orale.
Ce médicament doit être administré avec prudence au travers d’une ligne de perfusion directe puisqu’il s’agit d’un produit vésicant.
Le dosage est habituellement calculé en fonction de la surface corporelle (en m2).
Deux schémas posologiques peuvent être utilisés :· Traitement quotidien
La dose recommandée pour une administration intraveineuse par jour est de 500 mg/m2 de surface corporelle pendant cinq jours consécutifs toutes les six semaines jusqu’à l’obtention d’un bénéfice thérapeutique maximal, ou l’apparition de signes de toxicité. Une augmentation de la dose au cours de ce schéma n’est pas recommandée.
· Traitement hebdomadaire
Pour les deux premières séquences, la dose hebdomadaire recommandée pour une administration intraveineuse est de 1 000 mg/m2 de surface corporelle. Pour les séquences suivantes, les doses peuvent être augmentées chez les patients pour lesquels il n’a pas été noté de réponse thérapeutique et chez qui il n’a pas été observé de manifestation de toxicité au cours du traitement précédent.
Cependant, une dose de 1 500 mg/m2 de surface corporelle en une fois ne doit pas être dépassée (toxicité rénale).Avec ce schéma, le délai moyen de réponse est de dix-sept jours environ et le temps moyen pour obtenir une réponse maximale est de trente-cinq jours environ. On entend par réponse maximale le niveau de réponse thérapeutique que l’on ne peut pas améliorer par une augmentation des doses ou une augmentation du temps de traitement.
La dose totale moyenne par cure de traitement pour obtenir une réponse thérapeutique est de l’ordre de 2 000 mg/m2 de surface corporelle.
La dose totale moyenne pour obtenir une réponse maximale est de l’ordre de 4 000 mg/m2 de surface corporelle.
La durée idéale du traitement d’entretien n’a pas encore été établie, quel que soit le schéma utilisé.
Chez des patients atteints de tumeurs fonctionnelles, une surveillance régulière de l’insulinémie en période de jeûne permet une appréciation de la réponse biochimique au traitement.
Chez des patients ayant des tumeurs fonctionnelles ou non, la réponse au traitement peut être évaluée par une réduction significative de la taille de la masse tumorale et des adénopathies.
Chez des sujets porteurs de métastases de tumeurs carcinoïdes, la réponse thérapeutique sera évaluée sur la réduction significative du volume tumoral des métastases.
ASSOCIATIONCe médicament peut faire l’objet d’un traitement associé avec le 5-fluorouracile (5-FU) selon le protocole suivant :
·Streptozocine 500 mg/m2 jour pendant 5 jours,
·5-FU 400 mg/m2 jour pendant 5 jours,
Traitement à renouveler à six semaines d’intervalle.
Une réduction de dose ou un arrêt du traitement doivent être envisagés en cas d’insuffisance hépatique ou de signes de toxicité médullaire (apparaissant en général en cas d’association de la streptozocine avec une chimiothérapie).
MODALITÉS DE MANIPULATION
La préparation des solutions injectables de cytotoxiques doit être obligatoirement réalisée par un personnel spécialisé et entraîné ayant une connaissance des médicaments utilisés, dans des conditions assurant la protection de l'environnement et surtout la protection du personnel qui manipule. Elle nécessite un local de préparation réservé à cet usage. Il est interdit de fumer, de manger, de boire dans ce local. Les manipulateurs doivent disposer d'un ensemble de matériel approprié à la manipulation notamment blouses à manches longues, masques de protection, calot, lunettes de protection, gants à usage unique stériles, champs de protection du plan de travail, conteneurs et sacs de collecte des déchets. Les excreta et les vomissures doivent être manipulés avec précaution. Les femmes enceintes doivent être averties et éviter la manipulation des cytotoxiques. Tout contenant cassé doit être traité avec les mêmes précautions et considéré comme un déchet contaminé. L'élimination des déchets contaminés se fait par incinération dans des conteneurs rigides étiquetés à cet effet. |
Ces dispositions peuvent être envisagées dans le cadre du réseau de cancérologie (circulaire DGS/DH/9N°98/188 du 24 mars 1998) en collaboration avec toute structure adaptée et remplissant les conditions requises.
MODE D’EMPLOILe médicament doit être reconstitué à l’aide de 9,5 ml de soluté injectable isotonique de glucose à 5% ou de chlorure de sodium à 0,9 %, ou d’eau pour préparations injectables. La solution obtenue, jaune or pâle, contient 100 mg de streptozocine et 22 mg d’acide citrique par ml.
Au-delà d’un volume de 9,5 ml de diluant, lorsque des dilutions plus importantes doivent être mises en œuvre, l’utilisation des solvants précités est recommandée. La concentration de la solution finale obtenue doit donc être recalculée en fonction du volume additionnel de diluant.
Le choix du volume de dilution est dépendant des protocoles d’oncologie mis en œuvre. Le seul point commun de ces protocoles est l’utilisation initiale de 9,5 ml pour diluer le lyophilisat au sein du flacon. Des poches de 100 à 500 ml de solution de dilution peuvent ensuite être utilisées.
MODE D’ADMINISTRATIONAttention :
Il est extrêmement important de s’assurer que l’administration est intraveineuse. Toute extravasation risquerait de produire une nécrose des tissus environnants. En cas d’extravasation, l’administration sera interrompue immédiatement. |
À conserver au réfrigérateur (entre +2°C et +8°C), à l’abri de la lumière.
Durée de stabilité après reconstitution et dilution : la stabilité physico-chimique de la solution de streptozocine reconstituée a été démontrée sur 48 heures entre 2°C et 8°C. Toutefois, le produit ne contient pas de conservateur et n’est pas destiné à un usage multiple. Aussi, du point de vue microbiologique, le produit doit être utilisé immédiatement. En cas d’utilisation non immédiate, les durées et conditions de conservation après reconstitution et dilution relèvent de la seule responsabilité de l’utilisateur et ne devraient pas dépasser 24 heures à une température comprise entre 2°C et 8°C, sauf en cas de dilution réalisée en conditions d’asepsie dûment contrôlées et validées.